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Le 8 mars sera la Journée internationale des femmes, une bonne occasion évidemment de reparler de la place de plus en plus importante de la femme dans la fonction médicale… j’aimerais aujourd’hui vous proposer l’exercice pratique de lire la crise actuelle autour du coronavirus, et sa gestion, à la lumière de cette féminisation justement.

Dans un reportage sur la chaîne locale de Mons-Borinage (Telemb), le Dr David Simon (ABSyM) explique les procédures à suivre par les médecins généralistes pour la prise en charge des patients suspectés de contracter l’infection liée au COVID-19.

L’ABSyM s’inquiète que la distribution annoncée de masques FFP2 soit réservée uniquement aux médecins de ville et de campagne en contact direct avec des patients suspicieux de SARS-CoV-2. Les autres professions indépendantes comme les infirmier(e)s, les kinésithérapeutes, les dentistes et les pharmacien(ne)s sont eux aussi exposées aux aérosols viraux du patient qui tousse.    

L’ABSyM propose aux cercles de médecins généralistes de dispenser leurs consoeurs enceintes de l’obligation de garde pendant toute la durée de la grossesse et de l’allaitement pendant toute la durée de l’épidémie de COVID19.

 
Une migration majeure des systèmes de bases de données de l'INAMI vers une nouvelle version a été réalisée le week-end dernier. La plupart de leurs applications web ont donc été indisponibles entre le 6 et le 9 mars, dont MyINAMI.

l’ABSyM a demandé qu’un budget soit libéré pour permettre d’indemniser les médecins lors du triage téléphonique et de l'anamnèse effectuées chez les patients suspectés de présenter les symptômes d'une infection au coronavirus

 
L’ABSyM, le plus grand syndicat de médecins, appelle le Gouvernement à prendre d’urgence des mesures drastiques et efficaces pour endiguer la pandémie liée au coronavirus
Notre message: "Etablir à court terme un plan de fermeture de toutes les écoles et interdire dès maintenant tous les rassemblements de plus de 100 personnes 

Maggie De Block (Open Vld) garantit que les médecins seront "correctement rémunérés" pour leurs (télé) consultations, indique-t-elle jeudi. La ministre de la Santé répond ainsi à l'Association belge des syndicats médicaux (ABSyM).

En attendant d’envahir le pays, le coronavirus envahit nos esprits et les médias. Les plans de combat sont prêts, les stratégies de prise en charge définies. On expose en détail les phases 1-2- 3, et ce que médecins et patients doivent faire.
Parfait.
Et que voit-on dans le pays ?

Dans une vidéo destinée au grand public, trois médecins francophones s’adressent aux patients pour les aider à gérer la situation du COVID-19.

Dans une lettre commune adressée à Pedro Facon (directeur général du SPF Santé publique), l’ABSyM et le Cartel réclament un contrat pour les médecins spécialistes en formation (MSF) avec un salaire mensuel brut de 3.782,- euros pour la première année et jusqu’à 6.243,- euros pour la septième année.  Outre un salaire décent, les MSF pourraient également bénéficier d’une indemnité pour les services de garde et d’avantages extra-légaux.

La proposition émane des trois syndicats médicaux. Et si, en ces temps de covid, avec la charge de travail – y compris administrative – induite dans les cabinets, on permettait aux quinquagénaires et plus d’enlever le vaccin contre la grippe en officine sans être nantis d’une prescription ? La carte d’identité électronique attesterait du critère âge.
 

C’est avec tristesse que nous apprenons la disparition de Jean-Pol Leonard, pendant des années, président de l’union professionnelle de médecine nucléaire du GBS et Membre du bureau de l'ABSyM-BVAS.
 

En cette période de rentrée scolaire, la charge de travail s'accroît dans les cabinets des médecins généralistes. Le Dr Simon, administrateur fédéral de l'ABSyM, nous parle de la situation dans le Borinage.

Le Moniteur Belge d’hier a publié un Arrêté Royal ‘portant octroi, suite à la pandémie COVID-19, d’une indemnité de crise supplémentaire à certains travailleurs indépendants et conjoints aidants reconnus en incapacité de travail’.  Pour l’ABSyM, il s’agit là d’un pas en avant mais loin d’être suffisant.