L’ABSyM espère un dialogue constructif avec Frank Vandenbroucke

1 octobre 2020

L’ABSyM félicite Frank Vandenbroucke pour sa nomination au poste de vice-Premier et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique au sein du nouveau gouvernement De Croo.

Image

 

© Photo de Steven Fruitsmaak

 

 

L’ABSyM félicite Frank Vandenbroucke pour sa nomination au poste de vice-Premier et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique au sein du nouveau gouvernement De Croo.

 

Bruxelles, le 1er octobre 2020

 

Ministre des Affaires sociales aguerri au sein du gouvernement Verhofstadt de 1999 à 2003, Frank Vandenbroucke a toujours géré ses dossiers avec une grande connaissance de la matière. Au cours de son mandat ont surgi de nombreux conflits sans jamais l’empêcher de laisser la porte ouverte à la concertation et au dialogue avec les médecins. 

 

L’ABSyM s’attend à ce qu’après sa nouvelle nomination, le Ministre fasse preuve de la même capacité d’écoute que lors de son premier mandat aux Affaires sociales afin que nous puissions reprendre un dialogue constructif, sans préjugé, d’un côté comme de l’autre.

 

Pour la première fois depuis longtemps, l’accord de coalition fixe une norme de croissance légale de 2,5 % dans le domaine des soins de santé. Il s’agit là, certes, d’une bonne nouvelle mais nous insistons pour que la norme de croissance soit répartie correctement, en considérant avant tout les besoins de la population. Parallèlement, il est important que le nouveau gouvernement pose les bases pour faciliter la poursuite de l’innovation dans le domaine de la médecine.  

 

« Contrairement à mes prédécesseurs, en tant que jeune président de l’ABSyM, je ne connais pas (encore) personnellement Frank Vandenbroucke. Tout nouveau ministre mérite de partir d’une feuille blanche. Je n’ai moi-même pas d’a priori à son sujet et j’espère qu’il en va de même pour notre nouveau Ministre ».

 

 

Dr Philippe Devos

Président ABSyM

 

 

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.