Il est désormais acquis que doit intervenir, côté francophone, une limitation du nombre de jeunes s'engageant dans les études de médecine. Il nous semble évident que c'est la formule de l'examen d'entrée (assorti d'une année propédeutique) qui doit être retenue à cette fin, au nom de la qualité de l'enseignement, du respect des étudiants et de leur famille, ainsi que de la qualité des soins prodigués en Belgique dans le futur.