Communiqué de l'ABSyM: Dans une lettre ouverte adressée à l’ambassadeur d’Iran, l’ABSyM déplore le traitement inhumain infligé au Dr Djalali

16 janvier 2018

Les nouvelles relatives à l’état de santé du Dr Ahmadreza Djalali, notre confrère iranien et professeur invité à la VUB, qui se détériore rapidement sont préoccupantes. Ce qui est d’autant plus choquant, c’est que l’accès aux soins médicaux lui a été refusé.

Image

Bruxelles, le 16 janvier 2018

 

Les nouvelles relatives à l’état de santé du Dr Ahmadreza Djalali, notre confrère iranien et professeur invité à la VUB, qui se détériore rapidement sont préoccupantes. Ce qui est d’autant plus choquant, c’est que l’accès aux soins médicaux lui a été refusé.

 

L’ABSyM a de nouveau adressé ce jour une lettre ouverte à l’ambassadeur d’Iran en Belgique, dans le but de protester contre cette situation inhumaine. Quelques extraits de ce courrier:

 

“Outre la condamnation à mort du Dr Djalali prononcée précédemment, qui n’a toujours pas été annulée malgré la protestation massive à son encontre, le refus de lui prodiguer l’aide médicale nécessaire constitue une nouvelle fois une violation grave des droits de l’homme.”

 

“Nous vous prions de vous référer à notre courrier du 31 octobre 2017 dans lequel nous exprimions explicitement notre soutien aux actions humanitaires en faveur du Dr Djalali. Nous appelions alors à procéder à la libération immédiate de notre confrère. Bon nombre d’organisations médicales, de scientifiques et d’universités de par le monde entier avaient alors lancé le même appel.”   

 

“Plus que jamais, l’ABSyM reste inconditionnellement favorable à la libération imminente du Dr Djalali. Dans l’attente de ce moment, nous vous prions de faire en sorte que notre confrère se voie sans plus attendre dispenser tous les soins médicaux nécessaires.”

 

Dr Marc Moens, Président ABSyM

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.