17/09/2017: Débat RTL-TVI 'C'est pas tous les jours dimanche': "La Flandre nuit-elle à la santé des Wallons?"

19 septembre 2017

Nous sommes confrontés à un problème. La pénurie annoncée de médecins généralistes d'ici 2014 n'est réelle que dans certaines zones et à des moments précis. Notre Président, le Dr Marc MOENS, a tenu à avancer des chiffres concrets pour illustrer la problématique.

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Ce dimanche 17 septembre sur RTL-TVI, le journaliste Christophe DEBORSU a reçu notre Président, le Dr Marc MOENS, dans son émission « C’est pas tous les jours dimanche ».

 

126 191 téléspectateurs ont suivi le débat.

 

Nous sommes confrontés à un problème. La pénurie annoncée de médecins généralistes d'ici 2014 n'est réelle que dans certaines zones et à des moments précis. Le Dr Marc MOENS a tenu à avancer des chiffres concrets pour illustrer la problématique:

"En Flandre, 42% des jeunes diplômés choisissent la médecine générale car la Flandre est parvenue à encourager les jeunes médecins à choisir cette voie.

En Wallonie, seuls 25% font ce choix et c'est là que réside tout le problème."

 

Ce n'est pas tant le nombre de numéros INAMI disponibles qui pose problème que le cruel manque d'attractivité de la profession de médecin généraliste en Wallonie. Plusieurs intervenants le confirment...

 

Ces dernières années, l'ABSyM a fait en sorte d'assurer une revalorisation substantielle (+ 70%) des revenus des médecins généralistes dans le but de rendre la profession de médecin généraliste plus attractive. C'est maintenant au tour des facultés de médecine francophones de revaloriser la médecine générale, comme s'y sont attelés leurs confrères flamands ces dernières années.


Cliquez ICI pour regarder l'émission (rendez-vous à la 45:50' pour accéder à la bonne séquence)

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.

Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.