Réaction de l’ABSyM à la lettre ouverte des médecins généralistes relative au TPO

22 avril 2016

L’Association Belge des Syndicats Médicaux (ABSyM) est totalement d’accord avec le point de vue relayé dans la lettre ouverte cosignée par dix-sept cercles de médecine général publiée dans le Tempo Daily du 20 avril 2016.

Bruxelles, le 22 avril 2016

 

L’Association Belge des Syndicats Médicaux (ABSyM) est totalement d’accord avec le point de vue relayé dans la lettre ouverte cosignée par dix-sept cercles de médecine général publiée dans le Tempo Daily du 20 avril 2016.

 

Dans la perspective de cette réglementation, l’ABSyM a utilisé les mêmes arguments pour convaincre les politiques de ne pas publier cette loi. Parallèlement, l’ABSyM a organisé une enquête qui a fermement démontré qu’un grand nombre de médecins généralistes ne voulait pas de cette application obligatoire du tiers payant et ce, précisément pour les mêmes raisons que celles mentionnées dans la lettre ouverte.

 

D’autres organisations professionnelles ont hélas soutenu cette loi dans le but d’aller dans le même sens que les mutualités et le gouvernement et d’ainsi imposer leur vision des soins de santé. La bonne vieille technique du “diviser pour mieux régner”: et la loi fut… Certains estiment même que la loi ne va pas encore assez loin. Ils réclament l’extension de l’application obligatoire du tiers payant à l’ensemble de la population. C’est à n’y rien comprendre…

 

Entretemps, l’ABSyM a introduit un recours contre cette loi devant la Cour constitutionnelle et contre son arrêté d’exécution auprès du Conseil d’État.

L’ABSyM est le seul syndicat des médecins qui défend réellement tous les médecins.

L’ABSyM est le seul syndicat des médecins qui continue à défendre le caractère libéral de notre profession.

 

Dr Dirk Scheveneels

Vice-président du VAS

Administrateur ABSyM

Dr Marc Moens

Président du VAS        

Vice-président de l’ABSyM

Dr Jacques de Toeuf

Président de l’ABSYM Bruxelles

Président de l’ABSyM


À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.

Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.