Rapport KCE : Organisation des soins post-aigus aux patients gravement brûlés

17 novembre 2013

Les centres de traitement des grands brûlés  parviennent de mieux en mieux à négocier la première phase, particulièrement critique, de la prise en charge des patients très gravement brûlés… mais une fois la personne sortie de l’établissement, les soins se déroulent d’une manière beaucoup moins structurée. A la demande de la Fondation des brûlés, le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) a étudié comment mieux organiser ce volet de leur prise en charge.

Les centres de traitement des grands brûlés  parviennent de mieux en mieux à négocier la première phase, particulièrement critique, de la prise en charge des patients très gravement brûlés… mais une fois la personne sortie de l’établissement, les soins se déroulent d’une manière beaucoup moins structurée. A la demande de la Fondation des brûlés, le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) a étudié comment mieux organiser ce volet de leur prise en charge. Les  grands brûlés ne sont pas systématiquement traités dans un centre spécialisé, et ils ne bénéficient donc pas toujours de soins post-aigus parfaitement adaptés. La formation des urgentistes à l’identification des brûlures graves et des critères de transfert standardisés pourraient contribuer à remédier à ce problème. En outre, il est nécessaire d’harmoniser les procédures de sortie et d’organiser des soins post-aigus multidisciplinaires individualisés pour chaque patient. Afin de pouvoir référer  adéquatement les patients vers les prestataires appropriés,  une liste librement accessible des infirmiers, kinésithérapeutes et autres paramédicaux disposant d’une expertise dans le soin des brûlures graves devrait être établie.

Pour en savoir plus...

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.

Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.