Rapport KCE : Correction des troubles de la réfraction oculaire chez les adultes - Partie 1 : Perceptions et expériences

2 juillet 2013

Sept Belges sur dix déclarent souffrir d'un trouble de l'acuité visuelle. Voilà ce que révèle une vaste enquête menée par le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé (KCE). Parmi les seniors (65+), cette proportion culmine même à 95 %. Or, la majorité des répondants considère voir 'bien' à 'très bien', éventuellement grâce à leurs lunettes ou leurs lentilles de contact. Les lunettes sont le mode de correction le plus utilisé (95 %). Un peu plus de 10 % des personnes présentant un problème d'acuité visuelle portent des lentilles de contact, souvent en alternance avec des lunettes. La chirurgie correctrice n'est pas très répandue (2,5 %) et est surtout considérée comme une pratique de luxe. Quelque 5 % des personnes qui déclarent souffrir d'un problème d’acuité visuelle n'ont jamais consulté un médecin ou un opticien. Nombreuses sont aussi les personnes qui ne connaissent pas exactement la nature de leur problème, ni les solutions potentielles. La majorité des répondants considère que les lunettes et les lentilles sont chères. Ils estiment que tout le monde devrait pouvoir acheter des lunettes ou des lentilles et qu'un remboursement partiel est justifié, surtout en cas de trouble grave. À l'automne, le KCE publiera une seconde étude consacrée à l'efficacité et à la sécurité de la chirurgie oculaire réfractive.

Sept Belges sur dix déclarent souffrir d'un trouble de l'acuité visuelle. Voilà ce que révèle une vaste enquête menée par le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé (KCE). Parmi les seniors (65+), cette proportion culmine même à 95 %. Or, la majorité des répondants considère voir 'bien' à 'très bien', éventuellement grâce à leurs lunettes ou leurs lentilles de contact. Les lunettes sont le mode de correction le plus utilisé (95 %). Un peu plus de 10 % des personnes présentant un problème d'acuité visuelle portent des lentilles de contact, souvent en alternance avec des lunettes. La chirurgie correctrice n'est pas très répandue (2,5 %) et est surtout considérée comme une pratique de luxe. Quelque 5 % des personnes qui déclarent souffrir d'un problème d’acuité visuelle n'ont jamais consulté un médecin ou un opticien. Nombreuses sont aussi les personnes qui ne connaissent pas exactement la nature de leur problème, ni les solutions potentielles. La majorité des répondants considère que les lunettes et les lentilles sont chères. Ils estiment que tout le monde devrait pouvoir acheter des lunettes ou des lentilles et qu'un remboursement partiel est justifié, surtout en cas de trouble grave. À l'automne, le KCE publiera une seconde étude consacrée à l'efficacité et à la sécurité de la chirurgie oculaire réfractive.

 

Pour consulter le rapport intégral (uniquement disponible en anglais), cliquez ici.

 

Pour le synthèse en Français, cliquez ici.

 

Source : KCE

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