LE SOIR: Incapacités de travail de courte durée en hausse
Les absences de quelques jours ou semaines augmentent en milieu professionnel. Passé les trente jours d’incapacité, l’assurance-maladie obligatoire octroie au travailleur un revenu de remplacement.
Au sein de l'ABSyM, "l'incapacité de travail est un sujet qui interpelle beaucoup et l'on s'interroge régulièrement sur l'augmentation de la charge émotionnelle au travail", confirme Michaël Bernier, médecin généraliste et porte-parole de l'ABSyM dans ce dossier. Il rappelle toutefois "que ce n'est pas le patient qui fait une demande d'une incapacité de travail. Le certificat résulte toujours du diagnostic du médecin et est strictement encadré par la loi".
Si le Dr Bernier n'a, de son côté, pas remarqué d'augmentation notable des incapacités de travail de courte durée au sein de sa patientèle, il observe toutefois un autre phénomène, en augmentation celui-là: "Des salariés, employés ou ouvriers refusent les incapacités de travail qu'on leur prescrit, de peur de se faire licencier. Ca, je l'observe de plus en plus, et c'est quelque chose de nouveau."
Pour consulter l'intégralité de l'article du Soir, cliquez ICI
À propos de l'ABSYM
Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.
Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.
En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.