Le journal du Médecin - "Notre association professionnelle doit être un influenceur du secteur de la santé" - Interview du Dr Bejjani, Président de l'ABSYM Bruxelles

13 décembre 2019

 
Gilbert Bejjani, président de l'ABSYM Bruxelles depuis le mois de juin 2019, a de grandes ambitions pour la chambre bruxelloise du syndicat. Celle-ci invite ses membres ce vendredi 13 décembre pour échanger en toute convivialité sur l'évolution de la profession.

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Gilbert Bejjani, président de l'ABSYM Bruxelles depuis le mois de juin 2019, a de grandes ambitions pour la chambre bruxelloise du syndicat. Celle-ci invite ses membres ce vendredi 13 décembre pour échanger en toute convivialité sur l'évolution de la profession.

 

Rappelons que le Dr Bejjani a succédé à la présidence de l'Absym Bruxelles au Dr Jacques de Toeuf, qui a exercé ce mandat durant de nombreuses années. Actif dans la défense professionnelle depuis quelques années, l'anesthésiste et directeur médical de la Clinique de la Basilique (Chirec) est également secrétaire général du syndicat médical au niveau national.

 

" Le financement de la santé se situe au niveau fédéral et donc la représentation syndicale principale se fait à ce niveau pour pouvoir défendre tous les médecins. Il faut aussi assurer la proximité sur le terrain en ayant des contacts avec les communes et les régions pour les matières qui leur ont été transférées. Je ne connais pas tous les médecins qui travaillent à Libramont - j'en ai croisé certains durant mes études - mais je connais bien les caractéristiques bruxelloises : la population, la démographie, les déterminants sociaux... En tant que président de l'Absym Bruxelles, je suis obligé de maîtriser et de tenir compte de cette réalité bruxelloise. "

 

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À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.

Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.