L'ABSyM a les plus grands influenceurs sur Twitter
L'année dernière, il avait terminé à la quatrième place du top 100 des influenceurs sur Twitter, mais cette année, Stijn Geysenbergh, médecin généraliste et membre convaincu de l'ABSyM-BVAS, laisse derrière lui de grands noms tels que Marc Van Ranst, Pedro Facon et Wouter Beke. Avec Luc De Clercq en 6ème position, l'ABSyM compte encore un deuxième influenceur dans le top 10. Quelle richesse !
La première francophone de l'ABSyM dans le classement est la psychiatre Caroline Depuydt, étoile montante de notre antenne bruxelloise et depuis peu invitée régulière de l'émission Vivacité de la RTBF. Le Dr Depuydt termine à la 24ème place, ce qui est excellent, car elle n’a plus qu’à céder la place à un seul twitteur francophone qui n’est nul autre qu'Emmanuel André.
D’autres membres de l'ABSyM peuvent également se compter parmi les meilleurs influenceurs. A la 12ème place, nous retrouvons Michel De Munck, plus connu sous le nom de "theharleydoc". Également, le dr Gilbert Bejjani, notre secrétaire général et président de la section de Bruxelles, arrive en 38ème position. Un peu plus bas, on retrouve encore des personnalités comme Tom Bovyn (59), Frederik Kao (72) et David Simon (81). Et Jacques de Toeuf avec sa 94ème position clôture la liste des meilleurs influenceurs.
Quant au Top 100 des organisations, nos comptes @bvastweets et @absymtweets font également une excellente prestation. Notre compte Twitter néerlandophone arrive en 9ème position, notre compte francophone en 31ème position. Avec sa 48ème position, notre compte @VASvzw rentre dans le Top 50.
Félicitations à tous nos influenceurs. Keep up the good work!
[1] Healtbuzz.be suit les interactions de plus de 3.000 professionnels belges de la santé sur Twitter et publie chaque année le top 100 des influenceurs.
À propos de l'ABSYM
Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.
Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.
En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.