Coronavirus en Belgique : les unités psychiatriques surchargées

28 novembre 2020

Le Docteur Caroline Depuydt, psychiatre et administratrice ABSyM, nous livre une part de son quotidien dans la profession...
Depuis une dizaine de jours, ça recommence, comme au moment du premier confinement et surtout du déconfinement, au printemps dernier.

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Dans leur petit bureau sans fenêtre, ils se presset, du téléphone à l'ordinateur, puis de l'ordinateur à l'armoire aux dossiers, puis ils filent dans les longs couloirs de l'hôpital. Nous sommes au Centre de crise et d'urgences psychiatriques des Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles. Depuis une dizaine de jours, ça recommence, comme au moment du premier confinement et surtout du déconfinement, au printemps dernier.

 

A l'hôpital psychiatrique Fond Roy, le constat est alarmant: 

"J'ai une augmentation des demandes d'aide de jeunes entre 17 et 20 ans, explique le docteur Caroline Depuydt, psychiatre, il y a eu le confinement, le Covid et toutes les inquiétudes qui vont avec, il y a le décrochage scolaire et il y a aussi la rupture sociale. Tous les liens amoureux et amicaux sont très importants pour les jeunes. Ils se retrouvent coupés de tout ça, conséquence, on voit des dépressions caractérisées chez des jeunes de 17 ans."

 

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Source: rtbf.be

 

 

 

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Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

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