COMMUNIQUE DE PRESSE
ACCREDITATION : GLEM’s virtuels autorisés jusque fin 2020
18 juin 2020
Les GLEM’s peuvent se faire par vidéoconférence jusqu’à la fin de l’année, telle est la décision prise par le Groupe de Direction de l’Accréditation. Le GDA a également décidé de prolonger jusqu’à la fin du mois de juin, la période de force majeure liée à la pandémie du Coronavirus. Enfin, la proposition de l’ABSyM d’accorder 5 credit points a été définitivement acceptée.
Bruxelles, le 18 juin.
Le Groupe de Direction de l’Accréditation a décidé hier soir que les GLEM’s par vidéoconférences seraient autorisés jusqu’à la fin 2020 et ce, sans condition spécifique. Une évaluation devra être faite et démontrer s’ils pourront encore, dans le futur, se tenir de cette manière-là également.
Par ailleurs, la période de force majeure liée à la pandémie du Coronavirus sera prolongée jusqu’à la fin de ce mois. Les médecins qui doivent introduire une demande de renouvellement de leur accréditation pour la fin du mois de juin ne doivent pas justifier d’activités de formation continue et ce, depuis le début de la pandémie. Nous attirons votre attention que cet arrangement ne comprend qu’une seule réunion de GLEM.
Autre point important, la proposition de l’ABSyM d’accorder automatiquement à tous les médecins accrédités 5 credit points a été approuvée. Il s’agit de 2 credit points pour participation à un GLEM et 3 credit points pour l’Ethique et l’Economie. L’ABSyM est satisfaite que la participation des médecins accrédités aux réunions et ‘webinars’ concernant le triage, l’accueil, les tests et le suivi des patients COVID-19 soit reconnue telle quelle comme formation continue.
L’ABSyM a réussi à ne pas compliquer inutilement l’accréditation durant cette période COVID-19. Une réalisation importante pour nos membres mais également pour tous les médecins.
Dr Philippe Devos, Président
Dr Bart Dehaes, Vice-Président
À propos de l'ABSYM
Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.
Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.
En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.