Appel aux jeunes médecins (H/F): et si 2020 marquait le bon moment pour vous engager en faveur de votre profession ?

20 février 2020

 
Dans un appel publié dans Medi-Sphere et Le Spécialiste, deux de nos figures de proue féminines s’adressent directement à leurs jeunes collègues. Les Drs Caroline Depuydt et Sylvie Geurts entendent encourager la nouvelle génération de médecins à s’investir étape par étape dans la défense professionnelle.
 

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Dans un appel publié dans Medi-Sphere et Le Spécialiste, deux de nos figures de proue féminines s’adressent directement à leurs jeunes collègues. Les Drs Caroline Depuydt et Sylvie Geurts entendent encourager la nouvelle génération de médecins à s’investir étape par étape dans la défense professionnelle.

 

Tout peut commencer par de petites résolutions, expliquent-elles. Suivre attentivement l’actualité peut déjà se révéler être un bon début. Un jour en viendrez-vous peut-être même à envoyer un petit e-mail dans le but de partager une idée ou une proposition? Cela vous permettra de voir rapidement plus clair quant à savoir qui défend quelles idées mais aussi pour quelle raison il est important de voter lorsque l’INAMI organise les élections médicales ou encore quel syndicat médical sera le plus à même de porter votre voix.

 

 « S’engager au niveau syndical ne signifie pas forcément participer à d’interminables réunions nocturnes. La nouvelle génération de médecins fait usage d’outils de communication en phase avec le 21e siècle. »

 

Caroline Depuydt et Sylvie Geurts espèrent indubitablement que leurs paroles trouveront un écho auprès de leurs consœurs. Leurs coordonnées de contact sont indiquées en bas de la tribune libre.

 

Cliquez ICI pour accéder à cette tribune libre intitulée « En 2020, s’investir dans sa profession? »

 

 

 

 

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.