Accord Médico-Mutualiste 2020 publié au Moniteur

29 janvier 2020

Communiqué de presse
Accord 2020 publié au Moniteur
L’accord national médico-mutualiste pour 2020 a été publié aujourd’hui, 29 janvier 2020 au Moniteur Belge.  Dès ce jour, vous avez 30 jours pour décider d’adhérer ou non à l’accord.

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L’accord national médico-mutualiste pour 2020 a été publié aujourd’hui, 29 janvier 2020 au Moniteur Belge.  Dès ce jour, vous avez 30 jours pour décider d’adhérer ou non à l’accord.

 

La date limite pour se déconventionner est le vendredi 28 février au plus tard.

 

Bruxelles, le 29 janvier 2020.

 

L’accord conclu le 19 décembre 2019 et paru aujourd’hui au Moniteur Belge est un accord d’une durée d’un an seulement.  L’accord est entré en vigueur le 1er janvier dernier et expire donc le 31 décembre 2020.  Le jour de la publication au Moniteur Belge est la date de début de la période de 30 jours pendant laquelle les médecins peuvent refuser totalement ou partiellement l’accord.

 

Les médecins qui le souhaitent doivent notifier leur refus ou leur adhésion partielle au plus tard pour le vendredi 28 février via l’application web sécurisée que l’INAMI met à disposition via MyINAMI.  Les médecins qui souhaitent être conventionnés pour l’ensemble de leur activité ne doivent entreprendre aucune démarche.  Pour rappel, si vous ne répondez pas dans le délai imparti, vous serez considéré automatiquement comme ayant adhéré à l’accord et ce, pour l’ensemble de votre activité professionnelle.

 

Comme mentionné au point 11 de l’accord 2020, le montant du statut social s’élève à 5.037,70,- euros pour les médecins conventionnés et 2.376,40,- euros pour les médecins partiellement conventionnés.

 

Dr Philippe Devos

Président ABSyM

 

 

Cliquez ici pour télécharger le texte de l’accord

Cliquez ici pour le communiqué de presse de l’ABSyM du 19-12-2019 sur le contenu de l’accord

 

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.

Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.