2 décembre, date importante pour le budget des soins de santé

22 novembre 2024

Lors de la Commission nationale médico-mutualiste (CNMM) de ce vendredi 22 novembre 2024, il nous a été confirmé que le gouvernement n'avait pas encore pris de décision quant au budget INAMI pour 2025.  Une décision devrait être prise lors du Conseil des ministres du 29 novembre prochain.  Cette décision sera à l’ordre du jour du Conseil général et de la médicomut du 2 décembre 2024.

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arts patiënt

 

3 options sont possibles :

1. soit le budget approuvé au Comité de l’assurance et soutenu par toutes les parties est approuvé;

2. soit un budget modifié est présenté. Il faut alors voir dans quelle mesure celui-ci est compatible avec l'accord conclu.

3. soit le budget n'est pas approuvé, avec des conséquences considérables pour le secteur de la santé.

 

 

 

L’ABSyM soutient que l'index et la norme de croissance déterminés légalement soient accordés sans restrictions ni pièges.

Dès le 3 décembre, l’ABSyM informera ses membres de manière transparente des prochaines étapes.

Toutes les possibilités de rompre l’accord tant de manière collective qu’individuelle restent actuellement ouvertes.  L’objectif principal d’un accord reste la sécuritaire tarifaire pour le patient. C’est aussi l’objectif de l’ABSyM. Cela implique que toutes les parties respectent les dispositions de l'accord signé.

Une impasse budgétaire pour l’assurance maladie entraîne des listes d’attente plus longues, une incertitude tarifaire et une pression accrue sur le personnel soignant.

L’ABSyM poursuivra sa lutte pour une indemnisation correcte afin que la population belge puisse continuer à bénéficier de soins de santé de qualité.

 

Dr Johan Blanckaert,

Président

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.

Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.